Memoire infirmiers / TFE infirmiers

Rôle et surveillance d’une patiente comateuse suite à un traumatisme crânien

Mémoire professionnel de fin d’études : Infirmier

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INTRODUCTION :

   Les traumatismes constituent un problème majeur de santé publique. Parmi les traumatismes, les lésions crânio-cérébrales sont fréquentes et potentiellement graves tant à court terme (risque vital) qu’à long terme (handicap).

   La prise en charge des traumatismes crâniens graves a bénéficié récemment d’une meilleure compréhension des mécanismes physiopathologiques du cerveau lésé.

   L’importance des phénomènes cérébraux ischémiques secondaires au traumatisme est établie et ce sont eux qui rendent compte de la morbidité et de la mortalité les plus lourdes.

   En dehors de tout processus expansif intracrânien, l’hypotension artérielle et l’hypoxie sont les deux principaux déterminants du risque de lésions cérébrales ischémiques secondaires.

   En pratique clinique, le contrôle de l’hémodynamique périphérique et de la ventilation est l’objectif prioritaire.

   La gestion du traumatisme crânien grave nécessite un plateau technique performant, des moyens d’imagerie facilement accessibles : tomodensitométrie cérébrale précoce, éventuellement répétée, des équipes de réanimation et neurochirurgicale entraînées.

PROBLEMATIQUE :

   Au cours du cycle de notre formation et durant nos stages pratique dans les différents services de chirurgie et réanimation, nous avons constatés un nombre très élevé de blessés par les accidents de la circulation et du travail, particulièrement les traumatismes crâniens, ou nous somme intéressé par l’élaboration de thème.

   Comme ne savent que le crâne contient le cerveau qui commande l’ensemble des fonctions de notre corps d’où son importance surtout lors qui on se trouve en face des patients comateuses suites un traumatisme crânien qui demande une prise en charge rigoureuse.

Problème :

   Le traitement des patients victimes de traumatisme crânien grave longtemps été décevant, avec pronostic aléatoire, des séquelles et un coûtnon négligeable pour la société.

   Ce qui était considéré comme une fatalité a eu pour conséquence, de la part du corps médical, un fréquent désintérêt pour ces patients.

   Cependant, depuis plusieurs années, un regain d’intérêt pour la physiologie du traumatisme crânien suit à l’introduction de TDM cérébrale et la mesure de PIC on donne à la neuro-traumatologie un visage nouveau.

   Mais malgré ces avancées scientifiques et logistiques, même incomplètes, on a toujours beaucoup d’anarchies, d’épuisements de notre équipe médicale et paramédicale ce qui semble favorise des comportements négatifs, l’insatisfaction malgré de l’effort déployer.

HYPOTHESES :

  • Manque de plateau technique adéquat pour prise en charge de cette entité de malade, notamment de TDM cérébrale.
  • Manque de l’organisation de service d’accueil et de réanimation.
  • Manque de personnel spécialisé au service réanimation.
  • La complexité de surveillance des malades comateux au service réanimation.
  • Manque de personnel spécialisé en hygiène hospitalière.

 

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