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Memoire infirmiers : La prise en charge d’un patient pique par le scorpion

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Introduction de TFE infirmier :

  Les piqures de scorpions restent un problème majeur de santé publique en Algérie.

  Le nombre de cas de piqures est en moyenne de 50 000cas par an, avec une moyenne de décès variant entre50 à100 cas, dont près de 65% chez les enfants de moins de 5 ans.

  Les Wilayas les plus touchées sont surtout celles des hauts plateaux : Biskra, El Oued, M’sila, Djelfa, Ouargla et Adrar avec plus de 4000 piqures par an.

  Mais, nous avons constaté ces dernières années une extension vers quelques communes des wilayas du nord en raison de la dégradation l’environnement et de l’hygiène publique.

  Depuis la création du Comité national de lutte contre l’envenimation scorpionique (CNLES) en 1987,plusieurs actions dans le domaine de la prise en charge thérapeutique et dans celui de la prévention par la lutte contre la prolifération des scorpions ont été menées pour prendre en charge ce problème.

  Mais le programme d’action ne peut être qu’intersectoriel pour aboutir à une stratégie de prévention et de lutte efficace.

  Quant au volet de la sensibilisation, il doit être non seulement à destination du citoyen mais aussi du décideur car aucune lutte ne peut être menée sans l’adhésion des principaux concernés.

  Vue l’importance l’envenimation scorpionique, j’ai voulue mettre la lumière sur le sujet pour une recherche de fin d’étude «la prise en charge d’un patient pique par le scorpion».

  Mon travail comporte deux parties, un premier consacre au volet théorique et un deuxième volet pratique, avec une enquête pour évalue la prise en charge d’un cas d’envenimation scorpionique aux niveaux de service des urgences médical de l’Hôpital ACHOUR ZIANE-OULED-DJELLAL.

Problématique de la recherche :

  Les envenimations scorpioniques constituent un accident fréquemment rencontré dans certaines régions du monde en particulier en Algérie surtout dans les wilayas du sud et des hauts plateaux.

  Les populations touchées payent un lourd tribut par cette pathologie car l’envenimation scorpionique est l’une des affections non transmissibles classée en troisième position en matière de létalité après les accidents de la route et les cancers.

  Le nombre de cas de piqures est en moyenne de 50 000cas par an, avec une moyenne de décès variant entre50 à100 cas, dont près de 65% chez les enfants de moins de 5 ans. sachant que les populations des wilayas touchées vivent un état de psychose et d’angoisse pendant la période d’activité scorpionique.

  Pendant ma formation en tant que future infirmière de la santé publique, j’ai eu l’occasion de faire de nombreux stage, j’ai remarqué au niveau de pavillon des urgences médicales que le schéma thérapeutique et de surveillances n’est pas appliqué convenablement pour la prise en charge des cas victimes d’envenimation scorpionique.

  La question qui se pose ici :
Est-ce que la prise en charge et la surveillance d’un cas d’envenimation scorpionique comme elle est pratique au niveau des urgences médical de l’Hôpital ACHOUR ZIANEOULED- DJELLAL.est conforme au exigence ?

Hypothèse :

  Non, la prise en charge et la surveillance d’un cas d’envenimation scorpionique comme elle est pratique au niveau des urgences médical de l’Hôpital ACHOUR ZIANE-OULEDDJELLAL .n’est pas toujours conforme aux exigences

ISP = Infirmiers de Santé Publique

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