TFE – Mémoire de Laborantin

Critères de validation d’un antibiogramme

MÉMOIRE PROFESSIONNEL LABORANTIN DE SANTE PUBLIQUE

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INTRODUCTION

   Le corps humain est un organisme qui abrite plusieurs petits êtres vivants : des parasites, des virus et des bactéries. Certaines de ces bactéries ne sont pas nocives pour lui, elles l’aident dans son quotidien. Mais lorsque son corps contracte d’autres germes considérés comme pathogènes, son système immunitaire s’affaiblie et dans ce cas il a besoin d’un coup de pousse venant de l’extérieur, l’utilisation d’antibiotiques pour inhiber la croissance de ces bactéries est nécessaire. Cependant cette utilisation ne doit pas être aléatoire  comme certaines personnes le croient, elle doit être basée sur des faits.
Les personnes malades ont tendance à prendre des antibiotiques n’importe comment ne savant pas les conséquences que ça pourrais engendrées et dans certains cas en vain pour à la fin avoir des rechutes.
L’utilisation répétée de certains antibiotiques contribue à l’émergence de souches de résistance. Dans ce cas faire une recherche bactériologique de la cause de cette maladie est un choix idéal. Et la principale finalité de cet examen s’il revient positif est l’antibiogramme. Son interprétation est difficile et dans certains cas même ininterprétable lorsqu’il est sujet à des contaminations. Serte c’est un test facile à réaliser mais il se base sur des critères à réunir afin d’avoir des résultats fiables.
Pour comprendre et essayer de minimiser les fautes qui peuvent survenir lors de sa réalisation, nous avons choisi ce thème qui comporte deux parties :
1. Partie théorique : où l’on parle de l’antibiogramme en général, son exécution et le contrôle de sa qualité.

2. Partie pratique : on a fait une étude de cas et une étude statistique sur les différents critères qui peuvent influencer directement ou indirectement les résultats de l’antibiogramme; les anomalies et les suggestions qui peuvent optimiser le travail.

PROBLEMATIQUE :

   Lors de ce stage effectué au niveau du laboratoire de bactériologie à l’EPH Dr. Saâdan. Nous avons observé que certains antibiogramme effectués était sujets à des doutes (contaminations, problèmes d’interprétations) et que l’on ne pouvait pas y référés.
Donc la question qui se pose est : « Quelles sont les conditions à réunir pour optimiser les chances d’avoir un antibiogramme fiable ? »

HYPOTHESES :

Il faut essayer de standardiser la réalisation de l’antibiogramme en réunissant deux critères importants qui sont :

  • Un bon matériel non défectueux.
  • Une bonne manipulation.

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