Memoire infirmiers / TFE infirmiers

Mémoire infirmier : LA PRISE EN CHARGE DE LA DOULEUR POST OPERATOIRE

TFE infirmiers - mémoire infirmier (PDF)

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Introduction de TFE infirmier :

« II n’y a pas de mots de la douleur, elle ne peut que se crier. »
Jean-Bernard pontalis

Et pourtant…

  Elle est cruelle, torturante, obsédante, harcelante, suppliciante, rayonnante, irradiante, douce, acide, amère. Elle pique, elle coupe, elle pénètre, elle transperce, elle gène.

  Elle est désagréable, pénible, insupportable, énervante, fatigante, épuisante, terrifiante. brûlante, chaude, froide, glacée,

   C’est la douleur, c’est ma douleur, c’est ta douleur, c’est votre douleur. Un jour ou l’autre, une partie ou l’autre de notre corps sera amenée à souffrir et d’ailleurs la lutte contre la douleur a toujours été une préoccupation des
hommes.

  Doit-on, lorsqu’on écrit aujourd’hui sur la douleur, prendre un ton sinistre ou désespéré ? Sûrement pas, car depuis la nuit des temps l’homme mène un combat sur l’adversité, sur la maladie, sur lui-même.

  Aujourd’hui plus que par le passé, le rôle du l’infirmier devant la vie de ses patients, et jusqu’à leur dernier souffle, doit être un combat pour le bien-être et contre la souffrance.

  Sa seule attitude possible est d’écouter son malade pour mieux l’appréhender et le soigner. « La douleur, ne l’appréciez jamais par ce qu’elle vous parait être, mais par ce que le malade semble souffrir », écrivait en 1799 Marc Antoine Petit, dans son discours sur la douleur.

  Actuellement les recherches psychologiques et neurophysiologiques ont mis en évidence l’extrême complexité de ce domaine. C’est pour cette raison qu’il n’est pas encore possible de donner une définition complète de la douleur, mais seulement de nous en approcher. Il s’agit d’une sensation d’origine périphérique à perception corticale consciente par une intégration supérieure qui est la résultante d’intégration à des niveaux inférieurs.

  La douleur postopératoire est une réalité quotidienne plus ou moins bien vécue et accepté par les opères mais considéré comme une de leur principale préoccupation.

  Actuellement le traitement de la douleur post-opératoire s’est enrichi de l’utilisation de nouveaux analgésiques et de nouvelles techniques d’administration. Pourtant beaucoup reste à taire pour répondre à l’attente de l’ensemble des patients, notamment dans le domaine de l’éducation des soignants, de l’organisation du traitement de la douleur et de sa surveillance dans les structures hospitalières.

Problématique :

  La chirurgie est responsable d’une douleur post opératoire qui occasionne de l’inconfort et participe peut être à la morbidité péri-opératoire.

  La prise en charge de la douleur post opératoire évoque une réalité constituée des problèmes de santé publique depuis une décennie, mais malgré les vifs succès rencontrées dans l’utilisation des traitements antalgiques dans les différents pays développés et les progrès technologiques en pharmacologie, l’évolution de cette prise en charge reste insuffisante.

Donc quels sont les principaux facteurs qui inhibent la prise en charge adéquate de la douleur post opératoire ?

Hypothese :

L’amélioration des connaissances en matière de l’évaluation de la douleur et la mise en oeuvre d’un protocole adéquat par les prescripteurs permet une bonne démarche, un bon suivi et une meilleure prise en charge thérapeutique de la douleur postopératoire.

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